Maeva Ghennam se livre sur sa religion et se dit « mauvaise musulmane »
À l’approche du Ramadan, Maeva Ghennam a fait des confidences sur son rapport avec la religion et sur la décision radicale qu’elle avait prise à l’occasion du jeûne. Gentsu vous en dit plus.
Que ce soit sur les réseaux sociaux ou sur les écrans, Maeva Ghennam passe rarement inaperçue. D’ailleurs, la jeune femme a été au coeur d’une grosse polémique disant qu’elle avait eu une relation avec Maes. Elle s’était également attiré les foudres après ses vacances au Ski ou en se filmant en pleine envie pressante.
Mais cette fois-ci, c’est pour un sujet plus sérieux que la jeune femme a pris la parole. En effet, Maeva Ghennam souhaite être plus concentrée sur le Ramadan et sa religion cette année. « Cette année, je vais bien le faire. J’ai besoin de me rapprocher de Dieu et de me remettre sur le bon chemin. Demain, grandes courses pour le Ramadan ! Je vais aussi retirer mes faux ongles des mains et des pieds, car je compte reprendre la prière pendant le Ramadan. Est-ce que je peux garder mes extensions de cils et de cheveux ? » a-t-elle commencé par demander sur Snapchat.
Maeva Ghennam se livre sur sa religion et se dit « mauvaise musulmane »
Jusque-là tout va bien. Seulement voilà, le reste du discours de celle qui s’est clashée avec Polska a fini par choquer les internautes. « Je sais que je vais être critiquée, mais je fais ce que je veux. Je sais que je ne suis pas du tout une bonne Musulmane et je suis quelqu’un de complètement égarée. J’en suis consciente ! Le Ramadan, c’est un bon moment pour ça. Alors, je vais faire toutes mes prières et faire à manger. Je sais que je ne suis pas un exemple… Mais j’ai la foi ! Je suis vraiment investie cette année. L’année dernière, je n’ai pas passé un bon ramadan, il m’est arrivé plein de problèmes les bébés et en fait, c’était parce que je forniquais pendant le ramadan. Il ne faut surtout pas faire ça », a-t-elle ajouté.
Fort heureusement, Maeva Ghennam a quand même eu des personnes qui ont tenu à la soutenir malgré sa maladresse. Faute avouée, faute à moitié pardonnée ?