« Validé » : Hatik raconte comment il a vécu la fin de son personnage Apash
Il y a quelques jours, Canal+ a dévoilé la deuxième saison de Validé. Mais pour ces nouveaux épisodes, Franck Gastambide a dû faire sans Apash, qui disparait tragiquement à la fin de la première saison. Lors d’une récente interview, Hatik est revenu sur cette fin et comment il l’a vécu.
Ce lundi 11 octobre, la chaine cryptée a mis en ligne la nouvelle saison de sa série Validé. Et le succès est au rendez-vous, puisque les nouveaux épisodes réalisé par Franck Gastambide ont battu le record de visionnage de Canal+.
Hatik est revenu sur la fin de la première saison de « Validé »
Forcément, depuis la sortie de la série, le nom d’Hatik est souvent revenu. La star de la première saison est revenu il y a quelques jours sur la fin de son personnage Apash. Et c’est dans le Morning de Difool qu’il a pris la parole.
« Je l’ai appris trois jours avant la fin, se souvient Hatik. C’est-à-dire que la dernière séquence qu’on tourne, c’est la dernière séquence de la saison 1. Je me rappelle, c’était un jeudi ou un vendredi. Franck nous a réuni, il a dit : “Écoutez, je ne suis pas sûr de la fin, donc on va en tourner plusieurs”. Donc on en a tourné une où c’est moi qui mourrait, une où c’était Brahim. En tout cas il nous a présenté le truc comme ça. », a-t-il déclaré. On le sait, une autre fin avait déjà été évoqué par Franck Gastambide, mais qui n’a jamais été dévoilée.
Pour finir, Hatik est revenu sur la décision scénaristique, et il est d’accord avec le réalisateur. « Qu’est-ce que tu veux raconter de plus, de mieux et de plus fort qu’en saison 1 ? », avoue-t-il. Des rumeurs circulaient concernant son apparition dans la deuxième saison. Le doute était resté entier jusqu’à quelques jours de la sortie des nouveaux épisodes. Le rappeur avoue avoir été épuisé de rabâcher qu’il n’apparaitra plus dedans. « Ce n’est pas que j’en ai ras-le-bol de ce personnage, c’est juste que pour moi, la page est tournée. Parce que Franck a décidé que la série serait plus intéressante si on racontait un autre parcours, et il a raison. », a-t-il déclaré.
