Doc Gyneco écope de 5 mois de prison avec sursis pour violences conjugales
Quelques mois après avoir été arrêté par les forces de l’ordre pour avoir levé la main sur son épouse, la Justice a finalement rendu son verdict concernant sa décision pour l’affaire autour de Doc Gyneco. Gentsu vous propose d’en savoir davantage.
En mars dernier, Doc Gyneco était au cœur d’une grosse polémique après avoir été arrêté et placé en garde à vue. Le motif ? Le rappeur de 47 ans aurait levé la main sur sa compagne qui aurait reçu des coups au visage au cours d’une dispute selon les informations détenues par l’AFP. Une enquête pour violences volontaires par conjoint a été ouverte et confiée au commissariat du 18ème arrondissement de Paris depuis le 10 mars.
🇫🇷 FLASH – Le rappeur #DocGynéco a été interpellé et placé en garde-à-vue ce mercredi soir pour des faits de violences conjugales. Il aurait frappé son épouse au visage. Elle a été conduite à l'hôpital. (Le Parisien)
— Mediavenir (@Mediavenir) March 10, 2021
Doc Gyneco écope de 5 mois de prison avec sursis pour violences conjugales
Ce mardi 18 mai 2021, la Justice a enfin tranché concernant la sentence livrée à Doc Gynéco. En effet, l’ancien chroniqueur de Cyril Hanouna a écopé de cinq mois d’emprisonnement avec sursis ainsi que de 2000 euros d’amende pour violences conjugales après avoir donné quatre violentes gifles et insulté son épouse en mars dernier. Le parquet avait requis six mois d’emprisonnement. Finalement, le tribunal correctionnel de Paris a assorti ces cinq mois d’emprisonnement d’un sursis probatoire de trois ans. Lors de cette durée, Doc Gyneco va devoir suivre un stage sur les violences conjugales ainsi que des soins. De plus, il a pour interdiction de se rendre au domicile de sa compagne et d’être en contact avec elle. Lors de l’audience, il a reconnu les faits.
Concernant son épouse, cette dernière s’est retrouvée avec un œdème à l’œil gauche et plusieurs hématomes sur le visage. Transportée à l’hôpital, elle a reçu un total de 19 jours d’ITT dont 14 jours pour une détresse psychologique. Pour sa défense, l’artiste a révélé qu’il avait eu un « coup de sang » pour la première fois en 25 ans de concubinage. Pourtant, selon les témoignages de sa femme et de leurs deux filles, ces violences sont « habituelles ». « C’était qu’une fois. […] C’était un acte isolé, Monsieur le président » a déclaré Doc Gyneco. Absente lors de l’audience, la principale concernée n’a pas fait de demande de dommages et intérêts.