Joinville : Une nouvelle fête clandestine amasse 16 verbalisations
Le reconfinement n’est pas encore fini. Mais ce n’est pas pour autant que tout le monde respecte toutes les mesures de sécurité prises pour éviter la propagation du Coronavirus. D’ailleurs, une nouvelle fête clandestine survenue à Joinville-le-Pont a fait parler d’elle. Gentsu vous donne tous les détails.
Il y a quelques jours, Gentsu vous parlait d’une soirée clandestine de 300 personnes qui a dégénéré dans le Val de Marne. Seulement voilà, il semblerait que cela n’ait pas effrayé ces personnes voulant faire la fête. Ce dimanche 22 novembre 2020, seize personnes ont été verbalisées à cause d’une soirée située à Joinville-le Pont. Ce sont les voisins qui ont alerté les Policiers qui sont intervenus en début de soirée et ont vite mis fin aux hostilités. Sur les lieux se trouvaient une quinzaine d’individus. Verbalisés pour non-respect du confinement, les personnes se sont justifiés en affirmant qu’elles étaient venues fêter un anniversaire.
Une seconde fête clandestine dans un pavillon de Joinville-Le-Pont interrompue, 16 verbalisations https://t.co/Td1EcwFw72
— Le HuffPost (@LeHuffPost) November 22, 2020
« On a fermé les lieux, même si c’est une propriété privée, (…) au moins pour bloquer (l’accès) pour cette nuit », a révélé le maire Olivier Dosne. Sidéré, il a ajouté que les lieux avaient presque des allures de boîte de nuit. Parmi les invités se trouvaient des personnes de Drancy, ville de Seine-Saint-Denis à environ 15 kilomètres de lieux dits.
Confinement : un homme utilise son attestation pour se « bagarrer »
Ce weekend, un autre rebondissement lié au Coronavirus et au confinement a fait parler du côté de Lannois. En effet, un homme a justifié sa sortie pour « péter la figure » d’un individu alors qu’il était armé et alcoolisé. Le commandant divisionnaire Daniel Kerdraon a expliqué au micro de l’AFP: « Il a dit qu’il attendait quelqu’un pour lui casser la gueule (…) Il avait son attestation manuscrite avec son vrai nom, l’heure de départ de chez lui, à 22h15. Mais on lui a dit que le motif n’était pas valable (…) C’est quelqu’un qui est soucieux de la loi à sa façon (…) Il est reparti avec un bon modèle d’attestation et on lui a fait remarquer que ‘se battre’, ce n’est pas prévu ». Décidément, il s’en passe des choses !